Arnaldur Indriðason
Après avoir consacré quelques jours à Marie Ndiaye et son roman « Trois femmes puissantes« , je suis passé à toute autre chose avec Marc Levy et « La première nuit« . Bon je voudrais pas faire le snob intello, mais autant Trois femmes puissantes était d’une écriture complexe, suivant sans doute le fil de la pensée africaine, autant le Lévy est d’une écriture qui fait le best seller de l’été, en fait une base pour le scénario d’un film à venir. Ça occupe le retraité un bon petit moment vu le pavé. Mais bon, Danièle ma moitié voulait m’offrir un livre, et une cliente chez le libraire lui a conseillé « La femme en vert » de Arnaldur Indriðason. Elle m’a fait découvrir une pépite, je suis d’ailleurs sans doute le dernier à faire cette découverte, car les livres de cet islandais au nom imprononçable sont très connus des fans de roman policier noir.