Une série d’articles dans la presse au mois de Juillet, j’ignore pourquoi, ont déterré cette information. À la suite des deux dernières guerres mondiales, les différentes armées en cause se sont délestées volontairement ou non de millions de tonnes d’obus et mines au fond des océans, et elles y sont encore. Et pas seulement en mer: on estime qu’en France 8200 tonnes de bombes ont été immergées en rivière, dans des lacs, et dans des gouffres naturels, sans compter bien sûr celles qui traînent encore dans le sol. J’avais envie d’approfondir un peu cette histoire, pas par ignorance du phénomène, (né en 1946 à Brest, nos enseignants nous mettaient en garde contre les jeux avec des balles ou des obus trouvés dans les jardins ou les souterrains sous Brest) mais par méconnaissance de l’ampleur que cela a encore dans le monde actuel.

Mines échouées sur une plage
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Non, il ne s’agit pas de Franz Kafka, écrivain praguois de langue allemande, né le 3 juillet 1883 à Prague et décédé le 3 juin 1924 à Kierling… Il s’agit du titre d’un roman de Haruki Murakami, écrivain japonais né en 1949. Trouvé à la bibliothèque de Lavaur, il m’avait été conseillé par mon amie Mercédes pour que je lui donne mon avis, et tant qu’à faire je le mets aussi ici.
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Arnaldur Indriðason
Après avoir consacré quelques jours à Marie Ndiaye et son roman « Trois femmes puissantes« , je suis passé à toute autre chose avec Marc Levy et « La première nuit« . Bon je voudrais pas faire le snob intello, mais autant Trois femmes puissantes était d’une écriture complexe, suivant sans doute le fil de la pensée africaine, autant le Lévy est d’une écriture qui fait le best seller de l’été, en fait une base pour le scénario d’un film à venir. Ça occupe le retraité un bon petit moment vu le pavé. Mais bon, Danièle ma moitié voulait m’offrir un livre, et une cliente chez le libraire lui a conseillé « La femme en vert » de Arnaldur Indriðason. Elle m’a fait découvrir une pépite, je suis d’ailleurs sans doute le dernier à faire cette découverte, car les livres de cet islandais au nom imprononçable sont très connus des fans de roman policier noir.
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Voilà 40 ans que je ne l’avais pas relu, et ce roman avait un goût de nostalgie de l’adolescence, avec des notes de passion impossible et mortifère, de plaisir de lire des choses nouvelles…
J’ai eu l’occasion de m’y replonger puisque je l’ai acheté pour le fiston. Voici donc quelques notes de lecture.
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