Le grand public, dont nous faisons partie, a le sentiment que le fait de rendre immatérielle l’information (son stockage, son transport: une bibliothèque dans un disque dur…, un message de 20 pages en un clic à l’autre bout du monde) rend transparente l’empreinte environnementale de l’informatique. Bien sûr, il n’en n’est rien. Et c’est bien normal. Les aspects de cette problématique sont nombreux, je ne parlerai que de quelques uns.